Premier contact

Larguée du « Pourquoi pas ? » (en franglais why not ?) qui croisait en haute altitude sur une orbite d’attente, la chaloupe de transbordement s’était posée sur la surface accidentée de la nouvelle planète. Les androïdes débarquèrent pour commencer l’exploration.

Hologramme de l’expédition AJI-KAMINOTORA en 7854.

L’autre planète

Elle n’avait pas encore de nom, mais seulement l’appellation peu poétique de NTX-138, qu’on lui avait donnée lors de sa détection plusieurs siècles auparavant. Depuis, les descendants des anciens habitants de la Terre, étaient en mesure d’y envoyer des robots d’exploration.

Hologramme rapporté par l’expédition astrogalactique AJI-KAMINOTORA en 8154.

Mâchoires

Image du passé. Un technicien évite de justesse les mâchoires d’une machine bionique, lors d’une révolte des outils de production, à la suite d’une pénurie de composants d’intelligence artificielle, provoquée par la guerre entre Neptune et Pluton pour la possession des anneaux de Saturne. Pour plus de détails, nous invitons les lecteurs érudits à consulter « l’Encyclopédie des civilisations archaïques sur les exoplanètes de l’Ancien système solaire », chapitre 524, volume 4603.

Dernière image

Celle du milliardaire américain Elon Musk, qui, d’un geste théâtral, salue la Terre avant de disparaître dans les sables mouvants de Mars. Il faut dire que celui qui prétendait vouloir « changer le monde et l’humanité », avait pourtant été averti du caractère très aléatoire de son expédition martienne, réservée à d’autres milliardaires de son acabit. Résultat, le vaisseau spatial à propulsion électrique, made by Musk, s’est écrasé, à cause d’une panne de batteries, ce qui a entraîné la mort des autres passagers privilégiés. Bon débarras !