Folie meurtrière du grand prédateur hystérique néo-nazi qui dirige la Russie, ce pays d’irrémédiables moujiks abâtardis.

Autrefois dans la grande forêt d’un pays lointain qui s’appelait la Russie, vivait un ours E-NOR-ME. Cet ours qui s’appelait Vladimir, était très fort et très méchant. Il terrorisait ses voisins pour qu’ils lui obéissent. Un jour Vladimir a voulu faire la guerre à un petit pays qui s’appelle l’Ukraine. Mais les ukrainiens qui étaient très courageux, se sont battus très longtemps contre Vladimir et à la fin, ils ont gagné. Le méchant ours a dû retourner au fond de sa forêt, et ses voisins, qui avaient encore plus peur de lui parce qu’il était devenu fou d’avoir perdu la guerre, ont dû l’enfermer jusqu’à la fin de sa vie dans une cage avec des barreaux très solides. Depuis, tout le monde vit heureux dans la grande forêt, mais la Russie n’existe plus.

Au matin du 8 juillet 1947, la base aérienne des bombardiers atomiques de Roswell au Nouveau-Mexique, annonce par un communiqué de presse, la découverte d’un OVNI en forme de “soucoupe volante”, qui s’est écrasé dans une zone désertique à environ 50 miles au nord de la petite ville. Le soir même, la hiérarchie militaire dément et indique qu’il y a eu confusion avec un ballon météo (sic). Pendant 50 ans, le secret absolu est imposé par les autorités gouvernementales américaines, parfois sous forme de menaces, à l’encontre des nombreux témoins (militaires et civils) ainsi que leurs familles, mais qui, plusieurs dizaines d’années après, commencèrent à parler et firent même état de cadavres de créatures non terrestres sur les lieux du “crash”. Aujourd’hui, après plus de 70 ans, le Pentagone n’admettra pas la réalité de l’évènement qui prouverait que nous ne sommes pas seuls dans l’univers et que nous avons déjà été visités.

On a récemment découvert sur le flanc d’une colline, dans la région désertique de Nazca au Pérou, un géoglyphe représentant un chat de 37 m de long. Ce dessin aurait été réalisé par les Paracas, une civilisation précolombienne ayant vécu de – 500 avant J.C. à + 200 de notre ère. Sans mettre en doute les compétences des archéologues, nous faisons remarquer qu’à cette époque sur le continent américain, il n’y avait pas de chat qui n’est arrivé qu’avec les conquérants espagnols et portugais, c’est-à-dire au moins 1300 ans plus tard !

Croquée entre deux bouchées.

Moment d’intimité, mais notre photographe était là. Et comme dans la célèbre chanson de Mistinguett, « Il l’a vue nue, toute nue, plus que nuuu-e » .

Après sa cuisante défaite en Ukraine et la débâcle économique de la Russie, le dictateur a été évincé et incarcéré à la prison de La Loubianka, baptisée par ses compatriotes « la maison des horreurs ». Seul dans sa très inconfortable cellule, il passe le temps, entre deux séances de torture, en comptant et en recomptant les bombes qu’il a envoyées pour assouvir sa folie meurtrière. Pitoyable consolation, ses voisins d’infortune sont d’anciens soutiens inconditionnels des pays européens, à la tête desquels, la France est représentée par Mr Mélenchon, Mme Lepen, Mr Zemmour et l’acteur Depardieu.

C’est le grand menteur, le grand tricheur, le grand voleur, le grand envahisseur, le grand tortionnaire, le grand tueur, le grand exterminateur, le grand fossoyeur, le grand destructeur, le grand nuisible, le grand schizophrène, le grand botoxé. Il s’appelle Vladimir Poutine.

Estompage de l’eau et reprises ponctuelles de couleurs et de raccords de lumière. C’était, en toute modestie, l’histoire d’un chef-d’œuvre.

Estompage du carrelage vertical et mise en couleurs de l’eau du bassin.