Mme Pécresse qui, rappelons-le, prétend accéder à la plus haute fonction de l’État, n’a aucune idée personnelle et est de plus incapable de la moindre initiative. Le président sortant exprime vertement la lassitude des soignants et des citoyens ordinaires, face à la stupide opposition des anti-vaccins, Valérie P. voulant, elle aussi faire un « bon mot », ressort le « karcher » de Sarkozy, un pistolet à eau qui depuis plus de 10 ans rouille au fond d’une cave de la banlieue honnie. Eric Z. va en Aincompletrménie, Valérie P. s’y précipite quelques jours après. Marine L. va en Grèce, Valérie P. fait de même quelques temps après. Le président français va rencontrer son homologue russe à Moscou, sur la situation explosive de l’Ukraine, Mme P. dépassée par l’enjeu diplomatique et prise de court, veut faire savoir qu’elle parle le russe (qu’elle a appris dans les camps de jeunesses communistes de l’URSS) en ânonnant quelques platitudes « en russe », de manière aussi peu fortuite que spontanée, afin d’épater les gogos. Ceux qui croient aux compétences de cette marionnette savante, grande bourgeoise coincée, au style modeste serre-tête et chaste jupe plissée, sont des naïfs.