Cela pourrait être une des prisons de Piranèse ou un immeuble collectif de l’époque de Mussolini. Non pour la beauté de la chose et l’érudition des lecteurs, nous dirons que c’est une évocation, à la manière d’un « péplum » italien, des Thermes de l’empereur Caracalla, dont la réputation est aussi mauvaise que celles de Néron ou de Caligula. On verra ça après.