C’était une ancienne usine d’engrais désaffectée et vouée à la démolition. Tout autour, la campagne était recouverte d’une poudre sulfureuse, attestant d’une activité « peu respectueuse de l’environnement », pour employer le langage choisi des médias. Sous le ciel plombé du début d’automne, il semblait que les bâtiments témoignant d’un passé industriel désormais disparu, appelaient à l’aide, mais on ne les a pas sauvés. Car depuis on y a construit un supermarché, alors qu’il y en avait déjà une demi-douzaine dans un rayon de 2 à 3 kilomètres. Vae victis !