Une fois encore, son aéromobile l’avait lâché et il avait dû continuer à pied, en se guidant sur les étoiles. Mais le jour commençait à poindre et comme des guirlandes après la fête, une à une, les étoiles s’éteignaient. Sur la crête de la dune, le vent s’était remis à souffler, effaçant les points de repère. Heureusement, dès sa naissance, on lui avait greffé un GPS dans la tête.