Il était arrivé à pied en fin de journée, car son aéromobile avait rendu l’âme dans la traversée du Grand Désert Vermeil. Avec la chute du jour, le vent s’était levé, soulevant le sable qui s’infiltrait dans ses chaussures. Les arêtes acérées des blocs monolithiques commençaient à siffler et il fallait que très vite, il se mette à l’abri avant que la hors-Ville entre en résonance.