Ce célèbre tableau métaphysique de Giorgio De Chirico (1888 – 1978), aujourd’hui disparu et vraisemblablement enfermé dans le coffre-fort d’une banque de Hong-Kong, annonçait de manière prémonitoire les temps difficiles que nous vivons depuis que les chinois, avec leur inexpiable arrogance, ont voulu dominer le monde, en jouant aux apprentis sorciers.

Elle n’a pas besoin de le répéter.

Sur le balcon de la voisine d’en face. Vraisemblablement une étudiante en pleines révisions de ses études (sociologie? psychologie? ou miss France?). Il y a eu des protestations dans le voisinage, de ceux qui en voyaient trop et de ceux qui n’en voyaient pas assez. Bien placé, je n’ai pas protesté.

Inventée par le grand savant et mathématicien français Gaspard Monge, comte de Péluse (1746 – 1818), permettant par exemple la représentation des points d’intersection d’une droite avec un cône oblique à base elliptique. Autant dire franchement, que je ne n’étais pas particulièrement brillant dans cette matière très importante, qui était alors enseignée à l’école d’architecture. J’avais tendance à m’évader vers des représentations un peu plus ludiques. Avec le temps, j’en ai quand même gardé le goût de la rigueur graphique. À chacun sa « madeleine de Proust ».

Dans le plus simple appareil, sur la plage de l’Espiguette, près du Grau-du-Roi.

Fin d’après-midi d’hiver en Camargue.

Découvert dans le tiroir d’un meuble abandonné au grenier. Rempli d’images nostalgiques, comme un voyage dans le temps, celui des jours heureux et insouciants.