Parfois, quelque grand oiseau, albatros ou frégate, passait à portée de fusil et Gédéon Spilett se demandait si ce n’était pas à l’un de ces puissants volateurs qu’il avait confié sa dernière chronique adressée au New-York Herald.
Jules Verne
Parfois, quelque grand oiseau, albatros ou frégate, passait à portée de fusil et Gédéon Spilett se demandait si ce n’était pas à l’un de ces puissants volateurs qu’il avait confié sa dernière chronique adressée au New-York Herald.
Jules Verne