C’était l’un des patrons les plus puissants et les plus riches de la planète, mais cela ne l’a pas empêché – au contraire – malgré un salaire d’un montant indécent, de piocher largement dans la caisse de l’entreprise. Il a été pris la main dans le sac et après avoir passé quelques temps en prison, dans des conditions bien trop confortables, a réussi à s’enfuir dans un pays levantin où les combines politico-financières sont monnaies courantes. Sans vergogne, il fait un procès à son ancienne employeur, pour « licenciement abusif », on croit rêver. Son prénom est Carlos, comme celui d’un terroriste condamné à la prison à vie.