Il avait un patronyme, à consonance boduro-syldave, difficile à prononcer et une origine encore plus énigmatique. Auréolé d’une réputation de héros de de la dernière guerre dont le visage avait dû être réparé (plutôt mal d’ailleurs) à la suite de graves blessures reçues au combat. Après une éclipse de quelques années, il était réapparu dans les milieux financiers, sans que l’on connaisse ou que l’on veuille s’intéresser à l’origine de sa soudaine fortune. Mais désormais il avait l’écoute des grands.