A l’instar des illustres maîtres de la peinture du XIX ème siècle qui ont déjà traité avec brio ce sujet, cela aurait pu s’appeler « Lutteurs », sauf que les deux messieurs qui posaient dans l’atelier, étaient tout sauf combattifs. C’est même leur pose la plus dynamique, le reste du temps ils étaient avachis dans des sièges ou même couchés. La radio branchée sur FIP, diffusait une musique d’ambiance ringarde qui nous a empêchés de nous endormir sur le crayon.