Il avait pris sa retraite des services secrets français et depuis travaillait comme contractuel pour une officine privée. Grâce à sa maîtrise des langues extrêmes orientales et son sens du déguisement, il se trouvait à ce moment-là en route pour le Japon, sous le couvert d’un docte professeur d’université parti étudier l’influence de la lune sur la reproduction des carpes koï.