Bienheureux Aristide

Quand chargé d’un lourd sac à dos, en descendant de la montagne catalane, on arrive à Banyuls-sur-mer, accueilli par les voluptueuses statues du maître Aristide Maillol (1861-1944), le chantre de la beauté du corps féminin, on se dit que l’Arcadie n’est pas loin. Et on est tout de suite revigoré, surtout si c’est la fête des vendanges généreusement arrosée d’un ou mieux plusieurs verres de… banyuls.

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