A Hoi An, c’est au bar du Gaulois bleu, le célèbre hôtel datant de la présence française, que je fus abordé par une fausse princesse russe au physique chevalin et qui dans un charabia fortement chargé d’alcool, parvint à m’informer que je trouverais mon contact à la Maison commune de la congrégation chinoise de Canton.