Au-dessus de la Méditerranée, l’avio-nef de la ligne régulière Toulouse-Tombouctou, avait rencontré une poche de mauvais temps qui secouait sa carlingue et ralentissait le battement de ses ailes dont les mécanismes grinçaient affreusement, ce qui accentuait l’angoisse des passagers dont certains – les plus fortunés – transmettaient déjà leurs testaments par T.S.F. à leurs notaires et les autres s’étaient réfugiés dans la religion.