Feuilles de bambou sans la tige, qui avec sa longueur de 2 m, ne pouvait entrer dans le scanner. Un maître japonais de l’art calligraphique, aurait sûrement – après une gesticulation appropriée et quelques cris gutturaux pour se mettre en forme – réalisé une image subliminale propre à réveiller les consciences endormies des occidentaux enclavés dans leurs smartphones.