Heureusement, car c’est un ensemble de Dior présenté dans le cadre de la somptueuse exposition qui a eu lieu au Musée des Arts décoratifs à Paris pour célébrer les 70 ans de la – on ne peut plus – célèbre maison de haute-couture.

A en croire les médias, ce serait aujourd’hui, et donc, vu l’importance donnée à ce non-évènement, la période la plus importante de l’année. Si c’était vrai, il y aurait de quoi s’inquiéter.

Elisa jeune et talentueuse graphiste américaine, vivant à Paris, paraît aussi surprise que votre serviteur de se trouver au détour d’un couloir, face au portrait plus grand que nature du toujours aussi imprévisible et inquiétant président des U.S.A., lors d’une exposition au Petit Palais sur l’art du pastel à la fin du XIXème siècle. On ne voit pas ce que l’irascible Donald faisait là.

L’unique, l’authentique, l’inimitable pas-de-deux de Paris. Celui chanté, entre autres, par Trenet, Piaf, Aznavour, Mouloudji, Montand, Brel, Delair, Sablon etc… et j’en passe, excusez du peu.

Comme aurait dit, à propos de sa pipe, René Magritte aimable peintre du dimanche, d’origine belge et qui, à ce titre, appréciait les canulars. Par un incompréhensible égarement du sens commun, les laborieux barbouillages de l’artiste, lui valent une phénoménale gloire posthume de la part d’un quarteron de béotiens qu’il serait charitable d’éclairer sur la mystification dont ils ont été l’objet.

Face aux vagues qui roulent au pied des falaises d’Etretat.

Le chat des anciens voisins du dessus. Heureusement depuis ils sont partis, dommage pour le chat.

Dans les environs d’Utrecht, sur un pont  qu’aurait sûrement aimé Vincent le peintre hollandais.

Ce modeste mais utile outil domestique, qui donne aussi l’heure (on peut voir qu’il est 2h15),  outre sa fonction première, permet de se débarrasser des casse-pieds.

Pendant que nous randonnons, Henri l’homme-qui-sait-tout-faire, a fait du pain dont l’odeur apaisante embaume l’intérieur du chalet. Toujours au hameau du Roux à Abriès dans le Queyras.