Ce n’est que la troisième version (et peut-être pas la dernière) de ce dessin un peu compliqué, pour tenter de montrer la beauté de la mécanographie. Comparées aux micro-ordinateurs à l’esthétique aseptisée, uniformisée, insipide et sans saveur, les machines-à- écrire, avaient une poésie et un pouvoir évocateur, certes dignes d’une crédence Renaissance ou d’un buffet Henri II, mais propres à stimuler l’imagination.