Sous sa housse de neige, le Pavillon d’Or était d’une incomparable beauté. Avec ses baies grandes ouvertes qui laissaient entrer les bourrasques, ses fins piliers côte-à-côte, il avait dans sa nudité même quelque chose de tonique et de purifiant.
J’ai plus ou moins bien copié l’estampe d’un dessinateur japonais dont j’ai oublié le nom, et le texte d’un roman également japonais dont j’ai oublié le titre et l’auteur. Que ces grands maîtres me pardonnent.