Ils avaient installé la machine dont la tarière pompait toute l’énergie de l’astéroïde. Quand ils auraient fini, il ne resterait plus qu’une coquille vide. On les appelait des tueurs de monde.

Adriana Karambar (la top-modèle d’origine borduro-syldave etc…) en pleine action. Rassurez-vous, ce n’est qu’un exercice d’entraînement réservé aux secouristes patentés. Dommage que ma formation aux premiers secours, fut si lointaine, j’aurais bien été volontaire.

Alors que je faisais de la macro-photo au hameau du Roux à Abriès (dans le Queyras, pour ceux qui ne le sauraient pas encore), était-ce l’effet  de la chaleur ou le fruit de mon imagination? c’était bien Adriana Karambar, la top-modèle d’origine borduro-syldave, qui avec sa plastique irréprochable, était venue soutenir le moral des secouristes en montagne.

Le coureur cycliste Phil-l’aviateur (celui qui survole le peloton) et sa fiancée l’artiste extralucide Anaïs-la-tornade, en randonnée au hameau du Roux, commune d’Abriès dans le Queyras.

Chaque été, vers la fin juillet à Abriès au cœur du Queyras,  a lieu un festival de musique qui fait vibrer les montagnes et danser les spectateurs. Cette année encore, la programmation était d’une rare qualité.

En route vers le Queyras.

Déesse de la Lune et son époux Lapin souriant. Cette fresque maya a été découverte sur la côte occidentale du Yucatan par des archéologues anglo-saxons et donc puritains, qui ont qualifié le lapin de souriant, alors qu’il est franchement égrillard. Ce qui est confirmé par le visage réprobateur de Dame Lune, lassée d’avoir un mari aussi insupportable.

Sur l’Aubrac, Moiré sylvicole ou Grand Nègre – Erebia aethiops, papillon diurne, famille des Nymphalidés. Couleur générale brun foncé, ailes ornées de bandes orange roussâtre avec des ocelles  centrés de blanc. Se rencontre dans les landes et bois clairs à une altitude de 500 à 1000 m, période de vol de juillet à septembre.

Le lépidoptère butine.voracement une Epervière des bois – Hieracium sylvaticum, famille des Astéracées. Plante aux fleurs d’un jaune éclatant et très commune à toutes les altitudes , floraison de mai à octobre, considérée autrefois comme un remède pour les yeux.

Si vous ne pouvez apprécier les magnifiques couleurs de cette image, précipitez-vous chez votre marchand de téléviseurs, vous vous êtes fait refiler un poste en noir-et-blanc, datant du siècle dernier !

La peur irraisonnée des Géantes, avait eu raison des porteurs qui s’étaient enfuis  pendant la nuit. Légende ou pas, il fallait continuer.

Au-delà de la forêt, commençait le territoire des Géantes. Ce n’était qu’une légende indigène, mais les porteurs refusaient d’aller plus loin.